C'est à Chartres, dans leur chambre, que j'ai rencontré Hugo et Tao. Et Franchement je ne savais lequel des deux me fascinait le plus.

Six mois plus tard, chaque fois que je regarde la scène ou leurs photos, je suis toujours autant hypnotisé par la beauté quasi surréaliste de ces deux jeunes mecs.

Et pourtant Je suis habitué à côtoyer et filmer les plus beaux mecs de France, mais là j'avoue avoir été bluffé. Dire qu'ils sont incroyablement beaux ne suffit pas d'ailleurs. Ce sont en plus deux trésors de gentillesse, de bonne humeur et d'intelligence, chacun dans leurs styles, paradoxalement opposés, et en même temps terriblement semblables. Deux mecs parfaits… et qui forment un couple parfait.

Tout cela se sent dans la scène. Vous allez voir, je vous promets qu'elle marquera vos esprits.

Bon, bien sur, Tao a fait son macho brésilien à grosse queue, et bien sur il l'a fait a la perfection : Hugo est choppé, pris en main, retourné, culbuté, enculé, re-retourné, réenculé, fourré au jus, et Tao se conduit avec un machisme sans faille, allant même jusqu'à tasser le jus en enfonçant 5 doigts dans le trou béant et dégoulinant de sperme de cette bombe humaine qu'est Hugo Thorel.

Mais il y a bien plus que cela dans cette scène, des échanges de regards, des émotions, une fusion que leurs corps magnifiques et leurs actes torrides mettent en valeur. Tout est sublimé et il n'y a aucune contradiction entre la violence de l'enculage et l'intensité de leurs sentiments amoureux.
Une scène de baise extrêmement intense et torride.

La facilité avec laquelle Hugo, pourtant un vrai ptit macho dans son quotidien, et que j'aurais imaginé bien actif lui aussi, se prend l'énorme, le monstrueux engin du brésilien, est fascinante.

On ne peut pas résister à l'envie de le fourrer aussi, d'être là, dans la pièce, et de dire a Tao : "Vas y, passe le moi". Son cul est littéralement béant, défoncé par l'énorme braquemard.

Et pourtant, actif, Hugo l'est bel et bien, mais cela vous le découvrirez dans une autre scène, un autre jour. Aujourd'hui, ON LUI CASSE LE CUL, et quand je dis "on", vous comprendrez en regardant la scène, car je vous le promets vous serez bel et bien avec moi en regardant cette scène unique. Vous serez avec moi comme le jour du tournage, et prêt vous aussi à enfiler Hugo Thorel, ou bien à hurler sous les coups de boutoir du brésilien Tao Rêva.

Tao lui casse le cul donc, fort, et dans tous les sens, avant de le fourrer au jus.
Tout comme moi, vous ne vous lasserez jamais de revoir et revoir encore cette scène incroyable.